Date de l’enregistrement : Du 12 au 15 mai 1992 Lieu de l’enregistrement : Stockholm Concert Hall, Suède Prise de son : Ralph Couzens Minutage : 72:45
Commentaire
Connaissez-vous la très belle Chanson de Solveig ? Eh bien ce disque vous donne une excellente occasion de la découvrir et par la même, de vous imprégner de l’ambiance si particulière liée à Edvard Grieg : une atmosphère de tendresse et de mélancolie. En témoignent ces pages aux mélodies si fragiles et dont l’efficacité repose sur une redoutable simplicité. De là découle une belle prestation symphonique, très valorisante pour tous les mélomanes qui désirent sortir des sentiers battus. La direction est souple, se laissant manifestement inspirer par le lyrisme de ces œuvres. L’homogénéité de la prise de son repose sur sa profondeur et sa transparence avec une mise en forme spatiale des plus naturelles. Les pièces pour soprano et orchestre sont bien équilibrées. La voix est présente, bien timbrée et très pure. Edvard Grieg à son sommet.